Ci-dessous, « Les sept péchés capitaux », Rupert Shrive (acrylique et papier craft, résine et bambou, 2011)
Au Grand Palais, lors de la party « pas sage » organisée par Paris Première, découverte du travail de l’artiste Rupert Shrive.
Style et monumentalité de l’œuvre, la dynamique due au papier froissé (dynamique qui varie selon l’endroit où l’on se trouve) sont passionnants. La texture, les couleurs, l’expression qui se dégage de ces visages interpellent le spectateur.
Les réalisations de Clara Degand (ci-dessous) dont j’ai parlé il y a quelques mois rappellent ces masques « oversize » de Rupert Shrive.
© photo Christian Lartillot